Paris Drakkar

J'arracherai votre cœur de vous même dans une étonnante sobriété, et vous le ferai manger sans tacher votre nouveau costume qui vous va si bien.

Je brulerai votre village d'un feu polie et courtiserai vos fille dans l'abandon fou d'un dimanche mélancolique de fin d'automne.

J'écorcherai vos mots par une poésie détaché aussi froide que la Scandinavie et percerai vos mers intimes par un drakkar oxymore foudroyant.

Je serai suavement contenu, cordialement torride, licencieusement timide.

J'attendrai votre retour des courses chez Ikéa et je vous frapperai à mort avec des cornes d'élans congelées, et monterai votre tombeau en kit dans des prières inversées sur le sol du sang des Dieux oubliés.

Et je mangerai des chips, définitivement, s'ils vous en reste. Ou alors un filet de flétan flétrie dans la fleur des filet défilant sous le fil d'avril qui se défile dans un faux temps infinie.

C'est comme vous voulez...

Tendrement,

Lux